Sur les terres oubliées des Petites Iles de la Sonde
Sur les terres oubliées des Petites Iles de la Sonde
Le cinéaste Janos Veszi (1953–2015) devant sa table de montage visionnant des extraits du film en montage "A halál villamosa" (1990) sur lequel il était caméraman.
Le cinéaste Béla Paczolay, quand à lui terminait le montage d'un documentaire sur une famille nombreuse qui vivait dans dix mètres carré.(Ci-dessous)
Le peintre et plasticien Laszlo Bandy à son domicile.
Alors que je lui demandai si l'environnement dans lequel il habitait (banlieue d'immeubles de cubes), influençait son travail, il me sourit et me raconte qu'enfant à Budapest, il vivait dans un immeuble (ci-dessous), et il passait beaucoup de temps à regarder la cour et les coursives avec en premier plan les volutes du fer forgé qu'il ajustait dans son regard avec les éléments décoratifs
Le peintre et plasticien Márton Barabás
Aime les voyages mais pas les voitures
La gare de Budapest et les voitures (Trabant, Lada)
Le sculpteur Richard Torok chez lui à Budapest.
Nous avons passé beaucoup de temps ensemble avec le peintre Kalman Pollacsek , avec mon amie et interprète Victoria Paloczi-Horvath à prendre des verres, passer de vernissages de galerie à inaugurations d'installations de sculptures, il était toujours à la recherche d'une blague, nous l'avions accompagné dans sa maison de campagne sans jamais se douter qu'une terrible décision se mettait en route dans son esprit. Il mettait fin à ses jours en janvier 1993
Inauguration d'une statue commémorative de Richard Torok dans une partie allemande de la Hongrie
Le peintre Kalman Pollacsek
La peintre Monicka Raynai à Budapest
( déjà mère des dragons)
Inauguration d'une statue de fontaine de Nanda Stossel
pour un village d'enfants (orphelins) appelé "SOS Gyermekfalu". Près de la ville de Kecskemét.
Dans la réserveve du théâtre de marionnettes de Budapest
Monsieur Remete, conservateur de la bibliothèque juive de Budapest avec une galerie de ses prédécesseurs.
Installation de la sculpture de Imre Varga dans le jardin de la synagogue de Dohány à Budapest.
L'Arbre de vie - monument aux victimes de l'Holocauste a été ouvert en 1990
Chaque feuille de ce saule pleureur portera le nom d'une victime de la Shoa.
Monsieur Remete, conservateur de la bibliothèque juive de Budapest
Plaque commémorative - Le diplomate suédois Raoul Waldenberg sauva de nombreux juifs hongrois pendant l'occupation nazi
Le peintre Kalman Pollacsek
Les bains Szechenyi
L'assistante de Kalman Pollacsek devant la préparation des feuilles pour la création des vitraux d'un plafond commandé par la Konzum Bank
Le peintre Kalman Pollacsek préparant les dessins pour la réalisation des vitraux du plafond de la Konzum Bank.
Le généalogiste royaliste Itsvan Simon: depuis quelques mois il recevait de nombreux courriers de hongrois désirant retrouver une filiation aristocratique de l'ancien empire Austro-Hongrois et il avait retrouver dans cette barre d'immeuble quelques prétendants à des titres .!!
Le chanteur d'opéra Andras Benedek (basses) pendant une répétition chez le professeur de chant Jenö Sipos
Le Dr Jenô Sipos qui venait de fêter son jubilé à l'opéra de Budapest comme professeur de chant . Il a été le professeur de chant d'Eva Marton , célèbre soprano.
Son rêve!? que son image soit représenté sur le mur des coulisses de l'opéra présenté ci-dessous par la danseuse étoile de l'opéra de Budapest
Le Dr Jenô Sipos nous avait invité à un spectacle dans la loge protocolaire de l'opéra. Ici avec Victoria Paloczi Horvath, une amie et interprète.
La piscine de l'hôtel Gellert. C’est une immense piscine de natation, chauffée à 26°. Mais dans d’autres salles des bains à 38° après avoir franchi un vrai labyrinthe de marbre et de colonnes qui se déploie dans ses sous-sols.
Lors d'une exposition quelques mois après l'ouverture de la Hongrie, la photographe Anita Galambos montrait les premiers SDF de Budapest.
La pause des cheminots
Marchande des produits de son jardin
Rue Vaci, une "bourgeoise"
La tombe de Imre Nagy
Après le « tournant » de 1989, Imre Nagy reçoit des obsèques populaires et nationales (le 16 juin 1989) et est officiellement réhabilité par le Parti un mois plus tard. Depuis longtemps, sa réinhumation dans une sépulture plus digne avait été réclamée, entre autres en 1988 par le chef des étudiants de Budapest, plus tard Premier ministre, Viktor Orbán.
En juin 1989, Viktor Orbán a prononcé un discours remarqué aux obsèques nationales d’Imre Nagy – le héros de la révolution de 1956, pendu en 1958 – appelant à l’abolition du monopole politique d’un seul parti et au retrait des troupes soviétiques du pays : « C’est le seul moyen d’éviter de nouvelles tombes, de nouvelles funérailles », a-t-il lancé, sur la place des Héros devant deux cent cinquante mille personnes, dans un tonnerre d’applaudissements. Un ton qui impose définitivement sa voix sur la scène politique hongroise, sans l’empêcher de participer aux négociations de la « Table ronde » avec les communistes, qui initient le changement de régime.